Je remercie Laure Valentin Translation et l'auteure pour ce service de Presse.
La belle et le boss est une romance new adult qui m’a étonné.
Je m’attendais à quelque chose de plus doux, et bien non, c’est épicé, rythmé.
Alors si j’ai trouvé le début de leur relation trop abrupte pour être crédible, l’histoire démarre quand même en amenant un côté suspense, et la suite avec l’alternance de point de vue m’a embarqué.
Au fur et à mesure du livre, on apprend à décrypter le Thomas, alias l’affreux boss ou l’impitoyable salaud, à travers son passé et ses flashbacks et les yeux de Mia.
Il en devient touchant au contact de la jeune « geekette » analyste, et puis c’est sacrément torride entre eux. Leurs échanges peuvent parfois être coquins, et c’est assez drôle de jouer avec le double sens des paroles. Néanmoins, j’ai trouvé un peu facile les paroles crues de Thomas lors des scènes plus sexuelles.
Ce que j’ai trouvé dommage, c’est leurs débuts qui sont quasi instantanés, en une discussion, une soirée, c’est plié, sachant qu’ils ne sont vu qu’une fois en réunion sans se parler véritablement, et son tempérament d’homme froid, difficile d’abord. Heureusement, ce personnage est bien plus profond qu’il n’y parait et ce qui va faire toute sa force et son charme.
L’auteure ajoute une partie suspense sur un troisième personnage de l’ombre qui veut détruire l’empire de Thomas, on ne sait pas qui est le traitre dans l’entreprise, cela pimente la trame. Elle se permet même de finir le livre sur une ouverture vers une suite toujours avec des menaces et des manigances …
J’ai vraiment passé un très bon moment avec cette romance prenante grâce à de bons personnages qui malgré leurs blessures essaient de se dépasser, de s’aimer malgré les doutes, les failles et les peurs. Une touche de suspense et de sensualité assumée.
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