Je remercie les éditions Addictives pour ce service presse.
#Impatiente. Voila le premier mot de cette chronique. J’étais vraiment impatiente de retrouver la plume à 4 mains cachée sous le nom d’Izia Soley. «Fauve» fut un de mes coups de cœur 2020. Les auteures nous proposent donc ici l’histoire de Rwen et Canaan. Déjà pour le précédent opus, j’étais fan des prénoms choisis, mais alors là je suis conquise ! J’ai dévoré cette histoire et je vais vous raconter par quels états je suis passée tout au long de cette lecture.
#Frustrée. Et c’est peu que de le dire ! Rwen et Canaan m’ont rendue chèvre !! Comme pour Méléri et Shilow, que nous avons le plaisir de retrouver ici aussi, ces deux-là passent leur temps à se chauffer… à se frustrer et nous avec ! C’est un véritable jeu qui se déploie entre eux ! Les dialogues entre les personnages sont servis par des réparties de haute voltige. C’est drôle, touchant à la fois et sensuellement torride ! Izia Soley maitrise l’art et la manière d’attiser nos sens rien qu’avec ses mots et ses personnages !
#Enflammée. Mamamia ! A l’image du chapitre 23, débordant de sensualité, je me suis retrouvée enflammée tout au long de l’histoire. Il faut dire que les auteures ont utilisé le tatouage comme une métaphore de l’acte amoureux. Ici Canaan grave la peau Rwen comme il marque son corps à coup de caresses, comme un parallèle entre l’impression sur la peau de sa blonde et la manière de lui faire l’amour. C’est juste génial à lire ! Le coup de chaud est assuré je vous assure ! Il s’agit aussi ici, d’une véritable ode aux tatouages. J’aurai tellement aimé que les photos ou les croquis de ces tatoos jalonnent les pages du roman, pour illustrer la beauté des dessins de Canaan (tiens peut-être une idée pour la version brochée 😊).
#Charmée. Par les personnages et leur caractère volcanique, charmée par l’alchimie qui émane de Rwen et Canaan mais aussi par les personnages qui gravitent autour d’eux. Comme lors de ma lecture de « Fauve », Bart sort du lot avec ses phrases bien senties et ses référeEnces de geek qui tombent à point nommé, son grain de folie est juste excellent. J’ai hâte de lire le roman qui lui sera consacré, car cela promet d’être détonnant ! J’ai été aussi charmée par Cléo, la petite sœur de Rwen, qui n’a pas sa langue dans sa poche. Du haut de ses 13 ans, elle sait déjà s’affirmer. Je me dis que Cléo et Bart, cela pourrait donner un joli match, quand elle aura grandi bien évidemment !
#Canaanée. Totalement ! Comment résister à Can’ton (j’adore ce surnom !). Il est si…ah difficile de le décrire en quelques mots. Ce type dégage une telle désinvolture mêlée à une intensité qui font de lui une vraie bombe ! Rwen a du mal à résister…et nous aussi ! Sa rencontre avec Can va bouleverser sa vie à jamais, et ça elle ne s’y attendait pas. Une drôle de danse va se mettre en place entre eux, l’un et l’autre alternant le rôle du chat et de la souris...pour se retrouver tour à tour...#canaanés .
Encore une fois Izia Soley livre un roman pimenté, atypique, mettant plus que jamais en exergue que le tatouage est une forme d’art à part entière, comme un moyen d’expression indélébile au service de la puissance de sa signification. Je vous recommande vivement de lire ce roman et le précédent édité aux éditions Addictives, «Fauve», si nous ne l’avez pas encore fait. Sans conteste, je serai au RDV pour leur prochain opus, prête à me faire #Bartée !
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